lundi, septembre 11, 2006

Ha! C'est comme de la magie, mais en moins rigolo

Salut, c'est moi (sisi), ça va?
Ca fait un moment que je ne t'ai rien raconté cher lecteur, tu t'en portes sûrement d'autant mieux, mais je vais quand même me risquer à poster un update, comme ça, pour rire, parce qu'on est entre nous, et que si on rigolait pas des choses pas drôles, on rigolerait quand même, mais moins.

Bref, après cet été passé en partie à travailler, en partie à voir des potes, et en partie avec les parents en vacances dans un endroit où y'avait un billard, me revoilà pour ma dernière année à la fac en Angleterre, où je ne bois pas de thé et ne mange pas de pudding, tout simplement parce que c'est dégeulasse. Après une semaine à pas glander grand chose, et 2 soirées arrosées pile ce qu'il faut et un peu plus, je suis plutôt pas trop mécontent, et je pèse mes mots. Pour l'instant donc ça va, j'ai pas mal de projets, genre faire d'la muscu (lol!) et organiser mon propre radio show sur la radio universitaire, j'vous filerai le link pour écouter sur le net, ça va daychiray (METAAAAAAL§§§§).

N'empêche, ça fait bizarre de se casser un an d'un endroit, avoir aucun contact pendant cette période, revenir, et reprendre comme avant. Tout est exactement pareil, mais complètement changé, et puis ça te fait réaliser que si t'avais pas existé, ça serait sûrement pareil, du moins dans les grandes lignes. J'ai jamais prétendu vouloir/pouvoir changer la face du monde, de mon entourage, de quoi que ce soit, mais je me suis rendu compte que les êtres humains en général ont une influence très limitée, se cantonnant à quelques personnes. C'est insignifiant, et pourtant, une seule personne peut changer ta vie du tout au tout.
Putain, en un paragraphe, j'arrive à me contredire, c'est merveilleux. Bien sur qu'on peut avoir une influence importante sur ce qui nous entoure, et heureusement. Après, forcément, les choses qu'on voudrait changer on y arrive pas toujours. Bon, passons, je commence à tripper n'importe comment.

D'un autre côté, j'ai toujours pas mon emploi du temps alors que je suis censé avoir commencé les cours depuis une semaine, mais bon, hein, tant pis quoi, faudrait juste pas que j'ai mon emploi du temps à Noël, ça serait plutôt balo.

J'suis aussi en train de composer des machins assez sympas, faudrait juste que j'trouve un moyen d'enregistrer ça, d'apprendre à chanter, de trouver un bassiste et un batteur, puis le reste devrait se faire tout seul, tournée mondiale dans ma chambre tout ça, j'ai bon espoir.
Putain, j'avais jamais réalisé comment The Pixies ça gérait.

Allez, ça ira pour aujourd'hui, j'updaterai bientôt, promis, bonne soirée lecteur.

Proverbe chinois du jour "Man with one chopstick will go hungry".

2 Comments:

Anonymous Anonyme said...

Un peu le bordel ton post mais pas mal, pour un presque-retour sur ton blog.

Moi aussi j'ai cette pensée là, "si je n'avais pas été présent, comment serait le monde sans moi ?".
Ce serait fun de pouvoir expérimenter ça, peut-être en inventant une machine à voyager dans le temps et en empêchant mes parents de procréer, et en regardant toute ma non-vie.
...je vais plutôt aller me passer l'intégrale de "retour vers le futur".

MARTHY, DEMARRE LA DELOREAN O/

3:03 AM  
Anonymous Anonyme said...

88 MILES A L'HEURE ? NON DE ZEUS !

Moi je l'aime bien ce billet. Con d'aigri de chill (c'est bien les blogs, les gens se répondent et se font rire en petit groupe, des fois) !

En ce qui me concerne, je crois qu'il suffit de passer une journée avec quelqu'un pour avoir une influence sur sa vie. Et ce, rien que pour le fait qu'il a passé la journée avec vous, et voilà. Puis qui serait dans ma copine alors ?

Merci. J'aime finir sur une pointe de délicatesse.

12:57 PM  

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